|
- attitudes
espace d’arts contemporains
4 rue du Beulet, CH – 1203 Genève
+41(0)22 344 37 56, www.attitudes.ch
23 octobre - 18 décembre 2004, vernissage le 23 octobre, me - sa 15h -19h et sur rendez-vous
Pour fêter ses 10 ans d'activités, attitudes propose une exposition intitulée SITUATIONS CONSTRUITES qui rassemblera des œuvres inédites de Silvia Buonvicini, Pierre-Philippe Feymond, Bob Gramsma, Fabrice Gygi, Eric Hattan, Vincent Lamouroux, Constantin Luser, Christian Robert-Tissot, Kristina Solomoukha et Alexia Turlin, une sélection de trente trois films et des soirées événements avec, entre autres, Yan Duyvendak, Frédéric Edelmann, Samuel Herzog, Pierre Lagrange, Paul Ouazan, La Ribot et Guy Tortosa.
- Centre de la photographie
16, rue G. Dufour, 1204 Genève
+41(0)22 329 28 35 cpg@centrephotogeneve.ch
13 novembre -24 décembre 2004, vernissage le 12 novembre ma-ve 14h-18h sa 14-17h
Betrand Lamarche- Autobrouillard
Successivement explorateur, inventeur, ingénieur/narrateur, Bertrand Lamarche développe un panorama urbain, mi-réel mi-rêvé, souvent à partir de maquettes. „Autobrouillard“ est une installation vidéo qui nous plonge dans une ville nocturne et imaginaire. Le plan fixe et l’absence de son créent une ambiance étrange et inquiétante, où règne un climat de surveillance. En parallèle sont projetées des diapositives représentant des vues de la ville de Nancy, point de départ de tout le travail de l’artiste.
- Piano Nobile
10 Rue Lissignol - CP 1963 - 1211 Genève
+41 (0) 22 731 04 41 www.pianonobile.ch
12 novembre - 18 décembre 2004, vernissage le 11 novembre 17h-20h, je-sa 15h - 19h
Cod.Act (André Décosterd, musicien-compositeur-plasticien et Michel Décosterd, architecte-plasticien) ]Insofern[
L’installation ]Insofern[, une machine formée d’un scanner mobile, propose l’exploration visuelle et sonore d’un matériau technologiquement complexe, au moyen d’une interaction manuelle. Ce matériau, un corps en silicone traversé par un flux lumineux, figure quatre zones clés d’un cerveau humain. Telle une masse nerveuse, il se dilate et émet des sons. L’incursion du scanner libère par fragment les informations prisonnières de ses tissus, vestiges d’un contact sensoriel avec le monde extérieur. Ce corps donne lieu à une imagerie qui s’approche, entre autres interprétations, d’une vision en modèle réduit de métropole. Une ville est ainsi sondée, perçue dans un sens large de circonvolutions, réseau de connexions et de codes, en interdépendance avec l’homme.
|
