Trilogie de la première Guerre Mondiale de Yervant Gianikan et Angela Ricci Lucchi

De Yervant Gianikian et Angela Ricci Lucchi

Projections spéciales mercredi 29 mars à 20h, organisées par le Ciné-Club universitaire et le Théâtre Saint-Gervais, présentées par Bertrand Bacqué, en présence des réalisateurs. (Entrée 8.-)

Prisonniers de la guerre (Prigionieri della guerra)
Italie, 1995, 67', Yervant Gianikian et Angela Ricci Lucchi

Prigionieri della guerra

S'inspirant de lettres de captivité, chantées par giovanna Marrini et illustrées par les images d'archives des armées russes et austro-hongroises, Prigionieri della guerra raconte l'exode des peuples tour à tour vainqueurs et vaincus, pris dans une tourmente qui n'aura de cesse de se renouveler.

Sur toutes les cimes, c'est la paix (Su tutte le vette è pace)
Italie, 1998, 72', Yervant Gianikian et Angela Ricci Lucchi

Su tutte le vette è pace

Durant la Première Guerre mondiale, l'armée austro-hongroise se battait contre des soldats italiens dans les Alpes. Les cinéastes racontent leur quotidien de guerre en teintes rouge sang et livides. Les images qui composent ce film ont été tournées par les membres des deux camps.

Oh, Homme (Oh ! Uomo)
Italie, 2004, 71', Yervant Gianikian et Angela Ricci Lucchi

Oh Homme s'attache aux lendemains de la Première Guerre mondiale et à ses conséquences : les débuts du tourisme de guerre, la détresse des enfants orphelins en Europe, la famine en Russie, les gueules cassées et les débuts timides de la chirurgie plastique, les premières prothèses mécaniques.